Je manque de câlins !

L’amour naît par la tendresse et s’entretient par la douceur. Je manque cruellement d’amour, de tendresse, de câlins, de douceur ! La tendresse est un mouvement qui nous entraîne à suivre un chemin bordé de sensations et de sentiments où se trouvent mêlés bienveillance, acceptation, abandon, mais aussi confiance, stimulation, étonnement, découverte. La tendresse est le langage le plus direct pour atteindre l’âme et nous permettre de rejoindre cette part de nous-mêmes qui sait, au-delà des mots et des gestes, nous rejoindre au plus près de nos possible, au plus profond de nos attentes. La tendresse, c’est mon regard émerveillé sur ce que tu me donnes, c’est ton regard ébloui sur ce que je t’offre. C’est une parole ou un silence qui devient offrande. Quand l’amour et la tendresse se partagent dans l’abandon et la confiance, ils peuvent s’agrandir jusqu’aux rires du soleil. La tendresse, c’est le désir qui dort, mais d’un œil. Qui ferme sa porte à la tendresse, endurcit son cœur. La tendresse a des secondes qui battent plus lentement que les autres. La tendresse c’est apprendre à conjuguer le verbe Toi, un verbe très rare, à chuchoter avec respect, le seul verbe du langage de l’amour à se conjuguer avec le verbe aimer toujours au présent. Selon Suétone: « La tendresse du cœur, c’est ce que la nature a donné aux hommes en leur accordant des larmes. »La tendresse est l’abat-jour de la passion. Avoir tant de tendresse en soi et en donner si peu ! Quel monde étrange ! La tendresse du cœur, c’est ce que la nature reconnaît donner aux hommes en leur accordant les larmes; c’est là la meilleure par de nos sentiments. Si la tendresse tue (P.), l’absence de tendresse assassine. Amour, tendresse, douceurs, tels sont les éléments principaux dont Dieu a formé l’âme de la femme; aimer, guérir, consoler, telle est sa destination sur terre. On dit que la tendresse sauve tout quand l’amour a mis les bouts. L’amour ne m’avait jamais quitté pour P., la tendresse non plus. Maintenant je suis seule et en manque d’amour. Il est tout de même étrange que le mot « affection » signifie aussi bien attachement, amitié et tendresse que maladie grave, aiguë et chronique ! On ne fait guère de raccommodements en amour sans que la tendresse en redouble. Les larmes sont l’expression de la tendresse, elles sont à l’amour ce que les pluies d’été sont aux fleurs : elles le nourrissent et le raniment. Cela me manque. Être amoureux, se perdre dans une tendresse commune, et n’avoir rien à demander au autres. Quand la passion est dans son vif, on peut s’absorber au point d’oublier le monde entier et de n’avoir plus pour le centre et pour la circonférence que l’être aimé. Je ne suis pas femmes à me contenter d’une demi-tendresse, ni d’une demi-confiance ; je veux tout ou rien ! J’ai besoin par moments de caresser, d’aimer, de chérir, de m’apitoyer sur une tendresse. Le plus court chemin du )plaisir  au bonheur passe par la tendresse. Il y a deux choses chez la femmes : sa caresse et sa tendresse. LA TENDRESSE SUPPORTE MAL L’ABSENCE. Vivez, aimez, c’est la sagesse : hors le plaisir et la tendresse, tout est mensonge et vanité ! La tendresse est porteuse d’élans de bienveillance, elle vibre d’une intensité de l’attention et d »une écoute qui touchent au )plus profond celui ou celle qui va la recevoir. Dans un couple, c’est un des ciments les plus précieux pour maintenir deux êtres ensemble dans la durée. JE SUIS AFFAMÉE DE TENDRESSE ET D’AMOUR. Le tout ou rien demeure la loi du cœur féminin, qui veut l’absolu dans la tendresse, et préfère refuser tout s »il ne peut pas tout donner. J’aurais besoin du soleil de la tendresse, de la bénédiction de la vie partagée, de l’appui d’une âme sœur buvant l’inspiration aux mêmes sources, cherchant le  idéal. Le stoïcisme me fait de pierre; la sympathie me rendrait vivant. Mon cœur se cuirasse  et s’arrête, IL SE REMETTRAIT A BATTRE.