Chansons d’Amour…
« Mon manège à moi, c’est toi… Tu me fais tourner la tête », chantait la grande Edith Piaf. Oui, je t’aime tant et je suis prête à affronter dans ma folie tous les hasards, tous les dangers, comme un défi. Toi seul a su me sortir d’une situation difficile, et je t’en suis tellement reconnaissante. Tout ce dont j’ai besoin c’est d’Amour. Alors j’irai jeter les étoiles pour écrire nos initiales, je veux colorier ton présent sans utiliser de toile. J’ai mis les voiles quand j’ai plongé dans ton regard, quoiqu’il en soit tu ne me laisseras plus marcher seule dans le noir. S’il te plaît, aime-moi, mais aime-moi longtemps. Tu sais, j’aime que la musique ne soit pas sourde à la chanson du vent dans les plaines, ni insensible aux parfums de la nuit. Tu seras mon guide, mon ange, ma muse, mon pygmalion, mon coryphée. Où chaque seconde est une poignée de terre, où chaque minute est un sanglot. Vois comme je lutte, vois ce que je perds en sang et en eau. J’espère qu’au ciel, des diables malins coupent aux anges leurs ailes pour que tu retombes du ciel, dans mes bras ouverts. Puis, lave ma mémoire sale dans son fleuve de boue, du bout de ta langue nettoie-moi partout, et ne me laisse pas la moindre trace. De tout ce qui me lie et qui me lasse. Chasse, traque-la en moi, ce n’est qu’en moi qu’elle vit et lorsque tu la tiendras au bout de ton fusil, n’écoute pas si elle t’implore. Tu sais qu’elle doit mourir d’une deuxième mort. Alors, tue-la encore. Pleure. Je l’ai fait avant toi et ça ne sert à rien. A quoi bon les sanglots, inonder les coussins. J’ai essayé, mais j’ai le coeur sec et les yeux gonflés. Alors brûle, brûle quand tu t’enlises dans mon grand lit de glace, mon lit comme une banquise qui fond quand tu m’enlaces. Plus rien n’est triste, plus rien n’est grave. Si j’ai ton corps comme torrents de larmes, ma mémoire sale dans son fleuve de boue se lavera.
Tu es le plus beau parmi les plus beaux, la plus belle des chansons d’amour. Quand je te chante, j’ai le coeur en joie, car tu sais réveiller l’amour qui sommeillait en moi. « Quand [tu] me prend dans [tes] bras, [tu] me parles tout bas, je vois la vie en rose. » Que serais-je sans toi ? Je suis en train « d’aimer à en perdre la raison, aimer à n’en savoir que dire, à n’avoir que toi d’horizon et ne connaître de saisons » (Jean Ferrat). « Je dois juste m’asseoir, je ne dois pas parler, je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer : de [t'] appartenir… je [t'] aime à mourir » (Francis Cabrel). Et s’il le faut « j’irai chercher ton âme, dans le froid, dans les flammes. Je te jetterai des sorts, pour que tu m’aimes encore » (Céline Dion). Parce que « quand on n’a que l’Amour à s’offrir en partage , au jour du grand voyage qu’est notre grand amour. Quand on n’a que l’Amour, mon Amour toi et moi, pour qu’éclatent de joie, chaque heure et chaque jour, quand on n’a que l’Amour pour vivre nos promesses, sans nulle autre richesse que d’y croire toujours [...] Quand on n’a que l’Amour, pour tracer un chemin, pour forcer le destin à chaque carrefour. Quand on n’a que l’Amour, pour parler aux canons, et rien qu’une chanson pour combattre un tambour », « Je prie un domaine où l’Amour sera roi, où l’Amour sera loi, où tu sera [roi] » (Jacques Brel) et « peu m’importe les problèmes, mon Amour puisque tu m’aimes » (Edith Piaf). « Still loving you »(Scorpions), « I will always love you, will always love you » (Whitney Houston).
En fait, ceci est mon « secret »: je ne peux même pas parler de toi à qui que ce soit, car je ne veux pas que plus de gens sachent à quel point tu es étourdissant. Je crois que je tiens à toi malgré la raison, malgré les promesses, malgré la tranquillité, malgré l’espoir, malgré le bonheur, enfin malgré tous les découragements qui pouvaient m’assaillir. Cette semaine, cela a été le coup de foudre, le coup fatal, l’amour ad vitam eternam. Ti voglio.
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