Pour respecter la Femme, il faut être en mesure d’en aimer une !
Les femmes sont toutes différentes. Fondamentalement, elles sont une combinaison de ce qui est pire et de ce qu’il y a de mieux au monde, magiques et terribles. N’attiser pas leur colère, car elles sont le complément de l’homme. C’est avec la femme que l’homme est entier. Sans elle, il n’est rien. Derrière Aline, cette femme forte se cache beaucoup de personnalité, ce qui manquait cruellement à Yann, son ex-conjoint. Derrière cette personnalité magnifique se cache des mondes magnifiques. Derrière ces mondes se cachent la paix, donc le bonheur. Aussi lorsqu’un homme et une femme apprennent à se respecter mutuellement et à accepter leurs différences, alors leur amour peut atteindre sa plénitude. Or Yann, n’ayant aucun respect pour les femmes, ne se doute pas que tout homme porte en soi une image qui lui vient de sa mère; c’est elle qui le détermine à respecter les femmes en général ou bien à ne sentir pour toutes qu’indifférence. Comme seul compte sa petite (toute petite) personne, auprès de lui et après lui, Aline fut traînée dans la boue. Honte à lui ! Car respecter une femme, c’est pouvoir envisager l’amitié avec elle; ce qui n’exclut pas le jeu de séduction, et même, dans certains cas, le désir et l’amour. Mais enfin Yann, ta copine peut être ton bébé, ta princesse, ta vie, ton amour, mais certainement pas ton « jouet »!! Toi qui a presque la quarantaine, tu te conduis comme un enfant pourri/gâté ! « Je veux ci », « non, je veux ça », « tu me gonfles », « viens immédiatement ce soir »… et autres caprices de Diva eut-elle à endurer. Attention, car une femme est comme de l’électricité. Si tu sais t’en servir, elle illuminera ta vie. Si tu la fatigues, elle s’éteindra, si tu joues avec (si tu oses la tromper), tu finiras par te brûler, et si tu l’énerves avec des principes à deux balles, elle peut disjoncter. Aujourd’hui, Aline a atteint ses limites, la patience lui fait défaut, ses frustrations ne la portent plus : elle décide alors de faire le ménage et d’être enfin heureuse et épanouie avec celui qui saura la respecter. En écrivant ces quelques lignes, j’écris sur les femmes qui ont trouvé la force de surmonter leurs difficultés. Elles ne sont pas sauvées par un prince sur un cheval blanc. En ce sens, j’écris un peu, beaucoup sur Aline. Aline pourrait être moi, mais elle pourrait tout aussi bien être vous. Comment réagiriez-vous devant un homme qui après des mois de beuverie, se vante impunément et surtout faussement d’avoir arrêter l’alcool ? Comment digéreriez-vous le fait que votre petit ami soit inscrit sur des sites de rencontres, se vante de vous garder « comme plan Q », et d’être au même moment tomber, soi-disant, « amoureux » d’une autre ? Cette autre ne serait-elle pas simplement une poupée gonflable, Yann ? Car elle, au moins, ne peut se plaindre d’être sexuellement insatisfaite, n’est-ce pas ? Ainsi j’écris et prends ma plume, que cela te dérange ou non, car le combat des femmes qui écrivent consiste davantage à se libérer de ce qui entrave leurs pensées que des limites imposées par leur liberté de mouvement. Toi qui incarne la vulgarité envers la gente féminine, fermes-là, lis et enregistres. Les droits des femmes ne sont pas seulement une cause, c’est aussi une affaire personnelle. Ce n’est pas seulement à propos de nous, c’est également à propos de moi et toi. Rien que nous deux. Lorsqu’Aline t’appelle au téléphone pour s’expliquer avec toi, Yann, tu ne trouves rien de plus perspicace que de te mettre sur haut-parleur (?) As-tu si peur d’elle qu’il te faut ta cour pour te soutenir. Pleutre, poltron, peureux, lâche, tu l’es et tu l’as toujours été, et malheureusement pour toi, tu le seras toujours davantage. Mais voilà, c’est trop tard, tu as atteint le point de non-retour, car rien n’est plus lointain qu’une femme qui s’installe dans un nouvel amour. Une « ex »-traterrestre, un doux monstre distrait dont le visage, proche et déjà méconnaissable, provoque une attirance exacerbée, torturante et vaine. Aline a tourné la page, t’a absolument oublié, renie même votre histoire : la considérant comme une erreur sidérante, a rencontré l’amour, et non une pâle copie de celle-ci (soit un « fake »). Tu es un monstre d’inconsistance Yann ! Ne nous voilons plus la face, tu es le pire des amants, le pire coup aussi, le pire des petits amis, et je ne débâterai pas sur tes « qualités » de père ! Honte à toi d’avoir été aussi mauvais (dans tous les sens du terme) lors de cette histoire (qui n’était certes pas une histoire d’amour). Mais, dorénavant, à mon grand soulagement, j’y mets un point final.
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