Nous sommes tous fous !!!
Nous sommes soit fous de vivre, soit d’amour, soit fous tout court. Selon Erasme: » La folie est une ivresse sans fin, où la joie, les délices, les enchantements se renouvellent sans cesse ». Nous sommes toujours fous de quelque chose. Et ceux qui ne sont pas fous, je vous annonce qu’ils sont juste malheureux! Même notre perception de la folie est différente suivant qui l’on est. Vous le saviez ? C’est impossible d’avoir la même perception, nous sommes tous différents sur ça et c’est très important de le comprendre rapidement. Une perception change en permanence, c’est-à-dire que les vôtres vont changer, mais aussi tous les gens de votre entourage. Une perception est biaisée par votre état. C’est très important de le comprendre: si vous allez bien, votre perception sera positive. Si vous allez mal, votre perception des choses sera négative. Méfiez-vous donc de vos perceptions parce qu’elles vous trahissent: plus vite vous comprenez ça, plus vite vous avancez. Mais encore plus, c’est aux perceptions des autres, il faudra vous attendre à ce qu’elles changent en permanence. Tout évolue, tout est en mouvement perpétuel… Vous… Les autres…. Voilà pourquoi parfois on se perd. Selon Albert Einstein: « La folie, c’est se comporter de la même manière et s’attendre à un résultat différent ». Donc nous sommes tous fous, comme si nous étions dans un asile géant et oui il y a différentes folies. C’est comme ça qu’il y a des gens qui nous ressemblent et d’autres dont on a peur. Comprendre sa folie c’est aussi la laisser vivre et c’est aussi en faire de l’art. Je vous assure que c’est vrai. Cultivez votre brin de folie, c’est votre brin de magie. Alors soyez fous de vivre, d’exister, soyez fous d’amour, soyez fous tout court. Parce qu’il y a bien trop de gens malheureux, soyez une lumière qui brille, soyez un éclat de rire, soyez un souvenir dans le cœur, la folie n’a de beauté que si elle est vécue à fond sans faire semblant. Ne soyez pas normal… C’est chouette, je vous assure…. Horace disait de la colère qu’elle est courte folie. Oh oui j’ai été en colère. Puis je me suis sentis vide, puis au fur à à mesure des jours emplie de ma folie. Qu’elle est chouette: elle me berce, elle sait trouver les mots qui m’apaise. Tu n’as pas eu le courage de vider ton sac. Tu t’es envolé de ma vie. Poussière, tu naît poussière, et tu redeviendra poussière. Certes ! Tu ne représentes plus rien pour moi. Lorsque j’ai pris mon appartement, je m’étais dit: « chouette », enfin un endroit où le recevoir. Je voulais te rendre la pareille. Tu m’as reçu chez toi il y a quelques mois et dès le premier soir, tu m’as sauté dessus. Tu as attendu que je sorte de la douche et on se retrouvait nus au lit. Dans ce lit qui avait été mon lit, il y a bien longtemps de cela. J’aurais du savoir que tu le regretterais… Même si on fond de toi, je pense que tu ne regrette rien. Une séance de sport, une douche et quelques photos plus tard: j’étais à toi, vulnérable. Folie oh douce folie, aide-moi à transcender ces gestes faux, ces intentions malencontreuses. Tout ce que tu voulais, c’était recoucher avec moi. Encore une fois. Alors ?
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